Derrière chaque contrat en B to B se cache le risque d’un impayé. Pour y remédier, une entreprise doit prendre en compte le risque clients, soit en se protégeant via l’assurance-crédit, soit en y faisant face en interne : c’est ce qu’on appelle l’auto-assurance. Qu’il s’agisse d’un choix réfléchi ou par défaut, être auto-assuré offre souplesse et liberté aux dirigeants, mais s’accompagne de risques réels. En cas de retards de paiement ou d’impayés, l’auto-assurance peut coûter cher à l’entreprise, en raison des efforts qu’elle demande pour recouvrer les sommes dues… avec des résultats très incertains.